Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 17
Comme je vous le racontais, Yohann, mon voisin et ami d’enfance, que je pensais 100% hétéro, m’a charmé et persuadé, sous l’effet de la beuh, de le branler. Après cette branlette mutuelle, un facial de son coloc et une bonne séance de suce, je l’ai fait jouir comme jamais. Après cet épisode, nous ne perdions pas une occasion pour nous branler mutuellement. Quelques expériences sont venues pimenter tout ça (baise commune d’un faux-cul, concours du cookie, ...). Je me suis même fait baiser sous ses yeux. J’étais devenu accro à ses 23 cm. Puis, alors qu’on était en train de baiser un faux-cul, je me suis empalé sur sa bite. Et depuis, mon pote hétéro adore me sauter. Un jour, alors que Yohann m’avait appelé et chauffé pour que je passe, il s’est mis à jouer à la console avec ses potes et il s’est endormi devant la télé. Jordan, un de ses copains, m’a baisé. Bien sûr, je n’ai rien dit à Yohann... qui, le lendemain, m’a proposé d’emménager avec lui... ce qui a bien sûr intrigué Jordan. Et un autre jour, alors que Yohann, Jordan et deux autres de ses potes, Fabien et Christophe, étaient en train de jouer à un jeu tout en fumant de la beuh, Jordan a sorti sa bite et il s’est mis à se branler. Et de fil en aiguille, je les ai sucés. Yohann et Jordan m’ont baisé au jus tandis que j’ai avalé la semence de ses 2 autres potes. Un autre jour, ils m’ont tous les quatre surpris pour me défoncer au jus. Et depuis, je me fais prendre par Yohann dès qu’il en a envie. Un jour, un de ses potes m’a même baisé alors que Yohann était absent... ce qui l’a bien excité par la suite... Un autre jour, il m’a offert à certains de ses potes... et c’est là que certains détails m’ont sauté aux yeux : Yohann a voulu que je lui broute le cul... un truc assez inédit ! De plus, il a dit à Jordan que mon trou lui appartenait... et il a fait des allusions au fait de me mettre enceinte... Il m’a appelé aussi « mon cœur » ! Pour couronner le tout, il a refusé que ses potes me roulent des pelles...
La semaine qui a suivi, Yohann et moi avons beaucoup baisé ensemble. J’ai trouvé nos ébats très sensuels, très câlins... Yohann a été aux petits soins avec moi. Aujourd’hui, je rentre de la fac et Yohann se précipite vers moi. Il me roule une grosse pelle et il m’entraîne dans la cuisine.
- Bébé, je t’ai préparé un petit repas...
Et en effet, il a mis les petits plats dans les grands. Il m’a fait un succulent dîner (foie gras, bœuf bourguignon, crème brûlée), le tout accompagné d’un excellent vin... Quand on a fini, je lui dis :
- C’était succulent ! Merci, chéri.
Je sursaute. J’essaie de ne pas trop l’appeler comme ça pour ne pas l’effrayer... Je ne suis pas toujours sûr qu’il ait capté le changement qui s’est opéré entre nous. Mais il me prend dans ses bras et il m’embrasse. On reste un moment ainsi dans les bras l’un de l’autre... Puis, on va dans ma chambre et on se câline sur mon lit. Au fur et à mesure, nos mains passent sous le t-shirt de l’autre et on se retrouve très vite nus. Je le mate : Yohann a un corps svelte, légèrement bronzé, imberbe. Sa bite fait 23 cm, elle est lourde, courbée et très épaisse, avec un gros gland. Ses énormes couilles sont énormes.
Petit à petit, mes lèvres descendent sur son torse, elles lui lèchent ses tétons, ses pectoraux, puis elles passent sur son ventre plat avant d’atterrir devant sa grosse queue. Je la prends en bouche et je l’avale délicatement. Je m’y reprends à plusieurs fois mais je réussis à lui faire une gorge profonde. Je me mets à le sucer doucement, sur toute le long de son morceau. Puis, je descends vers ses couilles que je léchouille. Il lève alors ses jambes et je comprends le message. Ma langue passe le long de son périnée et elle atterrit dans son anus, après que j’ai léché sa raie et titillé sa rosette, ce qui le fait gémir fort... Je me mets à me délecter de son trou. La pointe de ma langue s’y introduit doucement... avant d’entrer entièrement dans son intimité. J’entame un bouffage de cul de malade. Je ne contrôle plus ma langue qui tournoie en lui. Yohann gémit fort.
Je lui fais un anulingus pendant une dizaine de minutes. J’adore lui faire plaisir. Quand je me retire, j’admire son trou imberbe qui semble implorer que je continue. J’y approche un doigt et je caresse sa rosette. A ma grande surprise, Yohann murmure :
- Enfonce-le...
Je ne résiste bien sûr pas. Je mouille mon doigt mais j’ai déjà si bien humidifié son intérieur que mon index y rentre sans problème. J’y vais doucement et je commence à faire tournoyer mon doigt. Soudain, il pousse un cri : je viens de toucher sa prostate. Il semble bien sensible. Une envie soudaine me prend... J’entame alors lent massage de sa prostate. Je vois directement couler du precum hors de sa queue sur mon ventre. Je me mets à malaxer ses couilles aussi.
Au bout de quelques minutes, je change de doigt et j’entame des va-et vient avec mon majeur. Je sens son corps tremblé, parcouru par des ondes de plaisir. Ses gémissements deviennent de plus en plus fort. Oui, il sent sûrement son jus monter... Je stimule sa prostate qui lui envoie des décharges de plaisir. J’ajoute ensuite mon index. Je lui enfonce deux doigts dans le cul et ça semble lui plaire ! Petit à petit, j’accélère la cadence. Yohann respire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je fais entrer et sortir mes deux doigts, comme si je le baisais. Les ondes de plaisir sont décuplées, son corps tremble sous ce massage prostatique. Je sais ce qu’il ressent... cette douce sensation qui s’empare de sa bite et de son bas-ventre. Il pense qu’il veut pisser... mais non ! C’est son sperme qui monte dans sa queue. Et au bout de quelques minutes, il s’écrie :
- Oh putain ! C’est pas croyable ! Je crois que tu vas arriver à me faire jouir com...
Il ne termine pas sa phrase et sans que lui ou moi ne touchions à sa bite, et il éjacule sur son corps en poussant de grands cris. Ce sont 5 jets qui jaillissent sur son ventre et sur son torse.
- Putain ! C’était incroyable. J’ai jamais ressenti un truc comme ça !
- Content que ça t’ait plu !
Je me pose contre lui et on s’endort ainsi.
Le lendemain matin, c’est Yohann qui me réveille en me prenant dans ses bras et en se frottant contre moi. On est déjà tous les deux nus. Je sens ses mains me masser le torse et ses lèvres me déposer des baisers dans le cou. Puis, il se met à caresser mes couilles et ma queue.
Finalement, il se retourne en me montrant son cul... où j’insère mon index. J’ai bien compris le message. Je lui mets un puis deux doigts et je lui masse sa prostate. Yohann gémit de plaisir. Mais au bout de quelques minutes, sans dire un mot, il saisit ma main, la retire de son cul, avant de s’emparer de ma bite. Il la colle contre son anus et il enfonce démonstrativement mon gland dans son trou.
Je ne m’attendais vraiment pas à ça. Mais j’accepte mon nouveau rôle et j’enfonce lentement mon gland dans son anus. Son trou s'ouvre progressivement sous ma bite. Je lui écarte les fesses pour l’admirer descendre doucement. Il respire profondément tandis que je pousse doucement. Ma queue passe sans gros problèmes en lui.
Mes 17 cm se retrouvent assez vite au fond de son anus. Je fais une pause pour le laisser se faire à ma queue. J’admire mes poils de pubis ainsi que mes couilles posées contre son cul. Puis, j’entame de lents va-et-vient. Je le sens crispé et je lui dis de se détendre. Pour l’aider, je l’embrasse dans le cou et je lui caresse son corps. Au bout de 2 minutes, j’accélère le rythme. Je le tiens serré contre moi et je caresse son corps tout en déposant des baisers dans son cou. Parfois, je saisis sa bite que je branle. Il murmure :
- Putain ! Que c’est bon !
Yohann semble au comble du plaisir. Je lui fais alors l’amour avec un peu plus de vigueur. Il gémit sans pause.
- Défonce-moi, Nico...
Je commence alors à donner de grands coups de queue jusqu'au fond du cul bien serré... si serré, que je n’arrive pas à retenir ma jouissance plus longtemps. Je décharge très vite ma semence dans son intimité.
- Putain, c’est trop bon de sentir ton sperme me fouetter le cul !, s’exclame Yohann.
En effet, ma bite explose presque en lui, l'inondant de mon jus qui semble ne jamais vouloir s'arrêter de jaillir. C’est comme je pissais en lui. Je l’ensemence de bien 15 jets.
Quand je ressors, je me jette sur sa bite et je la suce tout en lui mettant deux doigts dans le cul pour masser sa prostate. Je fouille son cul à fond, sentant mon jus entre mes doigts. Il gicle très vite 7 abondantes giclées dans ma bouche.
- C’était vraiment trop bon.
Je me redresse et je vais me coucher contre lui. Il me prend dans ses bras et sans que je m’y attende, il me murmure à l’oreille :
- Je t’aime, Nico...
A suivre...
Merci à Pierre pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :