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Chapitre 9
Salut,
Moi c’est Nico, 38 ans, blond, les yeux bleus, monté 17 cm, un peu poilu.
Comme raconté dans les premiers chapitres, je suis propriétaire d’une petite librairie à Limoges. Je suis ravi, les clients affluents. Je m’estime vraiment chanceux... Un jour, un client devenu régulier se met à me draguer et m’invite à boire un verre. Puis, nous faisons plus ample connaissance devant un dîner. Et finalement, nous finissons par faire l’amour ensemble. Cinq mois après ce premier dîner avec Christian, nous emménageons ensemble, nous sommes très amoureux. Mon quinquagénaire et moi faisons l’amour souvent. On adore ça. Cependant, alors qu’un jour, je rentre à l’appart, je le surprends en train de baiser avec un autre mec. Je constate après que mon mec me trompe très souvent. Je décide alors de faire la même chose : avec un de mes clients, puis avec deux mecs dans les vestiaires. Puis, Christian me propose un plan à 3 avec un de ces collègues pour pimenter notre vie de couple... et je comprends vite que ce n’est pas la première fois qu’ils couchent ensemble. Depuis, je suis toujours en manque et je baise dès que j’en ai l’occasion. Par exemple, alors que j’attends un rencart qui me pose un lapin, le serveur et le cuisinier me baisent. A la fin, ils m’invitent à participer à une orgie avec deux de leurs amis. Et c’est là que je rencontre Angelos... pour qui je crois développer des sentiments. Mais grâce au séjour romantique en Italie que Christian m’a offert, je me suis persuadé que je le veux, lui et pas Angelos.
Un mois après notre fantastique voyage, je rentre à l’appart plus tôt car nous devons partir le lendemain pour Toulouse, chez le frère de Christian car c’est la communion de son filleul, Clément. Mais je crois qu’il a oublié que je rentrais plus tôt car quand je pénètre dans notre appart, j’entends des gémissements. Sur la pointe des pieds, je me dirige vers notre chambre. Je pousse doucement la porte et là, je vois Christian... ainsi que deux autres mecs, nus, en train de baiser. Christian est en train de se faire sucer par un petit minet.
Christian a 55 ans, il a des cheveux très courts coiffés en pic à la militaire et une barbe bien entretenue, le tout de couleur poivre et sel. Il a un tatouage ayant une forme tribale sur le torse. Il est assez grand, avec une carrure normale. Il est bien conservé, il a de petits seins avec un torse rempli de petits poils gris. Il a un ventre plat et une ligne de poils qui descend du nombril à son pubis. Ses bras et ses jambes sont assez poilus. Son pubis a des poils plutôt noirs et courts, tout comme ses couilles. Il a une bite de 18 cm, épaisse, un peu plus foncée que sa peau, avec des couilles marron qui pendent bien.
Le minet qui le suce doit avoir dans les 20 ans. Il est mince, brun, avec une peau mate. Il est grand et imberbe. Il a un petit corps musclé et une petite bite qui pend sous lui. Il est en levrette, en train de sucer Christian, tout en se faisant baiser par un autre mec qui doit avoir la quarantaine. Il est brun avec une barbe de trois jours. il est musclé sec. Ses pecs sont bien dessinés et des abdos sont visibles. Il a le torse et le pubis poilu. Il a un tatouage sur l’avant-bras droit.
Ce mec donne de petits coups de reins. Rapidement, il sort du cul pour taper avec son gland sur le trou offert. Sa queue est épaisse, elle doit faire dans les 20 cm. Il la renfonce dans l’anus du passif et il recommence à le baiser. Christian passe à côté de lui et il admire la queue aller et venir. Il caresse le dos de l’actif.
Au bout de 5 minutes, il cède sa place à Christian qui enfonce sa bite dans le trou, sans capote lui non plus. Il saisit les épaules du minet et il se met à le baiser. L’autre mec se place devant la bouche du passif qui lui suce sa queue.
Christian baise le mec pendant quelques minutes, puis il jute dans le trou du mec. Il place sa bite bien au fond et il gémit fort, ensemençant le minet. Il tasse son jus puis il ressort. Du jus dégouline du trou. L’autre actif se lève, le passif se place devant la bouche du jeune et il se branle. Très vite, il jouit : il éjacule 8 gros jets qui s’écrasent sur le visage du minet mais qui giclent aussi dans son dos... et par terre, derrière le cul du passif qui prend la queue dans sa bouche et qui la nettoie. Le passif se branle et il éjacule 6 gros jets de sperme blanc et épais qui atterrissent sur son ventre et son torse.
Je me retire et je sors de l’appart. Bien que j’aie trouvé la scène bandante, je suis profondément attristé. Je pensais que Christian avait arrêté d’aller voir ailleurs... mais non... Je ne lui suffis donc pas. Je marche pendant une heure, puis je rentre, avec la ferme intention de reprendre ma double vie sur les tchats de rencontres.
Je ne raconte rien de ce que j’ai vu au moment où je rentre. Quand on va dans notre chambre, je fais remarquer à Christian qu’il a encore du sperme sur le sol, à moitié séché.
- Oui, désolé, je me suis branlé cette aprèm...
- Ah... donc tu n’as plus envie de me baiser maintenant...
- Non. Désolé... je suis trop fatigué...
Je me couche, triste.
On part le lendemain pour Toulouse. On est logé chez le frère de Christian, Léon. Il a 7 ans de moins que son frère. Il a une femme, Coralie, ainsi que 3 enfants, Sophie, Amélie et Corentin. Je les connais déjà tous. Ils m’accueillent chaleureusement. On fait un bon repas ensemble. Léon est cuisinier et il nous mijote, comme d’habitude, de bons petits plats. Le repas se passe bien, il est animé. Par deux fois, je surprends Léon en train de me faire du pied. D’abord, je pense qu’il a trop étendu ses jambes. Mais très vite, ses regards lourds de sous-entendus me font comprendre que c’est plus qu’une erreur. A un moment, je m’excuse pour aller aux toilettes. Quand j’en sors, je me retrouve nez à nez avec Léon. Surpris, je fais un pas en arrière. Mais il me bloque contre la porte et son visage se retrouve à quelques centimètres du mien. Il murmure :
- J’ai envie de toi, Nico...
Je dois dire que j’ai toujours trouvé que Léon est un bel homme. Mais je ne veux pas gâcher quelque chose, sa famille est trop gentille, elle ne mérite pas ça. Je veux le repousser en disant :
- Ce ne serait pas convenable, Léon.
- Pourquoi ? Parce que Christian est mon frère ?
- Entre autre.
- Tu sais qu’il te trompe sûrement.
- Comment tu peux savoir ça, toi ?
- Tu t’es jamais demandé pourquoi il était célibataire malgré ses 50 piges ? C’est qu’il n’a jamais pu être fidèle et que les autres l’ont largué quand ils s’en sont aperçus !
- Arrête, s’il te plait.
- Regarde comme j’ai envie de toi...
Il me fait poser ma main sur son paquet et j’ouvre de grands yeux. Il a l’air de cacher un important matos dans son pantalon. Il ouvre alors son pantalon et je découvre une massue de bien 22 cm, épaisse, marron, veinée.
- Tu la veux ?
- Je ... euh... je sais pas.
- Bien sûr que si ! Tu es une grosse salope, je l’ai deviné dès que je t’ai vu ! Viens me rejoindre ce soir dans le salon quand tout le monde dort.
- Je sais pas...
- Tu as intérêt à venir !
- Et si je viens pas ?
- Je rentre dans votre chambre et je te baise devant mon frère !
- T’oserais pas !
- On parie !
Il prononce ces derniers mots en souriant et il s’éloigne. Je reste là, interdit, puis je reviens à table. J’essaie de participer aux conversations mais mon esprit est occupé par la grosse massue de Léon... qui ne cesse de me faire des clins d’œil.
Après le repas, on reste à table à discuter. Puis, tout le monde va se coucher petit à petit. Christian et moi allons aussi dormir. Il trouve très vite le sommeil tandis que moi, je reste éveillé. Je pense à Léon qui doit sûrement m’attendre en bas, sa grosse queue tendue, prête à me baiser... Je bande immédiatement. J’ai cependant des appréhensions. Je finis par ne plus pouvoir résister et je me rends dans le salon. Je trouve Léon sur le canapé. Il me regarde et il me sourit en disant :
- Je t’attendais.
Il est complètement nu. C’est vraiment un beau mec. Il a 48 ans. Il a des cheveux bruns, des yeux verts. Il est mince, musclé sec. Il a une touffe de poils au milieu du torse ainsi que sur le ventre. Son pubis est velu. Sa queue est énorme, tout comme ses couilles.
Je me dirige vers lui. Il attend, souriant. Soudain, il me saisit dans ses bras et je tombe sur lui, sur le canapé. Il se met à me rouler de grosses pelles. Ses mains malaxent mon cul. En effet, je me rends compte qu’il a bien envie de moi ! Mes mains saisissent sa bite et elles se mettent à la branler lentement.
- Elle te plait ?
- Oh oui !
- Vas-y, occupe-toi en bien !
Je me mets alors à genoux devant sa bite que j’admire. Je l’enfonce lentement dans ma bouche mais je n’arrive qu’à en avaler la moitié. Je fais des allers-retours tout branlant la base de son morceau. Il se laisse faire. De mon autre main, je caresse ses grosses boules. Parfois, je sors sa queue de ma bouche et je la lèche de tout son long, tel un esquimau, avant de reprendre ma suce.
Puis, il me saisit, il me tend un tube de lubrifiant et je me mets à me préparer. Ensuite, j’enjambe son corps pour poser son gland contre mon anus.
- Sans capote ? Putain, t’es une belle salope, toi !
Sans répondre, je m’enfonce lentement sur son gros anaconda. Je mets un moment avant à m’y faire. Mais Léon semble patient. Je fais de petits allers-retours, ressortant quand ça me fait trop mal. Mais au bout de 5 minutes, je me retrouve les couilles dans ses poils de pubis et ses boules collées contre mes fesses. Je commence alors à faire de petits va-et-vient. Putain, c’est vraiment trop bon ! Je sens mes sphincters complètement dilatés ! Sa queue remplit mon anus, prête à le faire exploser. Mais elle frotte aussi ma prostate... et ça me fait un effet incroyable !
Je monte et descends sur son morceau. Je me fais plaisir. Léon me regarde en train de coulisser sur son manche et il semble satisfait. Au bout de 5 minutes, je me retire et il s’exclame :
- Je prends les commandes maintenant !
Il me fait mettre en levrette et il plonge rapidement sa queue en moi. Soudain, il entame une baise démente. Il se met à me pilonner, les mains sur mes hanches. Ses coups de queue me font vibrer le corps. Sa bite fait des va-et-vient rapides et brutaux. Ma tête se cogne contre le canapé. Je me retrouve secoué dans tous les sens. Je prends vraiment mon pied. Sa teub me ravage le cul... ainsi que la prostate.
Le mec est super endurant. Il donne des coups de reins puissants sans fléchir, à une cadence régulière et sauvage. Je me sens telle une poupée de chiffons entre ses mains puissantes. Je suis le jouet sexuel d’un mec qui veut se vider les couilles... et ça me plait ! Sa queue me démonte. Je ne sens plus mon trou, complètement en vrac ! Je regarde la pendule : Léon se fait plaisir en moi depuis bien 20 minutes ! Quelle endurance !
Sa bite me défonce tellement la prostate que je sens mon orgasme monter sans que je me touche. En effet, je finis par jouir des giclées puissantes de sperme sur le canapé. Les contractions de mes sphincters ont raison de l’endurance de Christian. Il s’exclame :
- Salope ! Tu vas me faire jouir !
Il accélère la cadence. Je me retrouve défoncer comme jamais. Il s’écrie :
- Prends-toi ça dans ta chatte, salope !
Dans un puissant coup de reins, je sens mon cul se faire engrosser. Des jets puissants et abondants se mettent à mitrailler le fond de mon anus. Ils sortent de sa bite en une cadence infernale. Je compte pas moins de 15 giclées. Quand il ressort, mon trou béant ne peut pas contenir son sperme qui coule directement sur le tapis. Voyant mon jus sur le canapé et le sien sur le tapis, il gueule :
- Nettoie tes saloperies et va dormir !
J’obéis à ce mâle dominant qui m’a bien ensemencé... La suite du séjour promet...
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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