Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre-7
Il est 22h37. Ce n’est pas dans les habitudes de Bénédicte de venir aussi tard. Mais après avoir passer près d’une semaine sans nous visiter, Bénédicte avait insister pour venir ce soir. La chambre est propre et prête. Yannick a passé plusieurs minutes sous la douche. Et maintenant je le regarde se parfumer devant le miroir. Assis sur le coin du lit, je le regarde se lubrifier le cul. Il s’introduit un doigt, puis deux dans le fion. Pas plus. Il aime bien sentir le sexe de Bénédicte forcer en lui. Nos regards se croisent a travers le miroir. Il me sourit.
On sonne a la porte. C’est lui. Aujourd’hui il est vêtu différemment. Il porte une chemise en satin rouge sombre ouvert sur sa poitrine. A son habitude, il me fait la bise sur les deux joues. Son doux parfum m’envahit les narines. Aujourd’hui il ne réclame pas son verre de vin. Il m’explique qu’il revient d’une soirée entre amis et qu’il a assez bu. Il ne me dit pas plus et se dirige vers la chambre. Je le suis.
Les lumières tamisées plongent la chambre dans une certaines ambiance. Yannick est couché a plat ventre sur le lit, son petit cul rebondi donne envie. Je suis excité, mais la cage de chasteté que je porte, réprimande mon érection. Je me rends a mon poste, dans mon coin. La vulgaire chaise est remplacée par un fauteuil beaucoup plus confortable; une acquisition récente comme si je m’étais fait a l’idée que ce nouveau meuble avait sa place dans la chambre d’un couple. Assis sur mon siège, je regarde les deux amants se rapprocher.
Yannick s’était relevé allant à la rencontre de Bénédicte. Le grand black l’avait pris entre ses bras tandis qu’ils s’échangeaient un baiser plein de passions. Mon membre emprisonné dans sa cage me fait de plus en plus mal. Je me calme un peu. Yannick commence à dévêtir Bénédicte. Et un à unes habits de ce dernier tombe sur le sol jusqu’à ce qu’il ne lui reste plus rien. Bénédicte a un beau très beau corps musclé par le travail et l’exercice. Tandis qu’il caresse Yannick, je vois ses muscles jouer sous sa peau noire.
Yannick finit par se baisser pour prendre en bouche le membre viril bien tendu de Bénédicte. C’est un sexe imposant: 23 cm de long assez épaisse. Mais Yannick n’est pas un débutant. Je le qualifierai même un expert en fellation. Voyez-vous, mon mec à cette façon à lui d’enrouler sa langue autour du gland, ou encore prendre en gorge profonde une queue peut importe sa longueur. Je savais bien que la queue de Bénédicte était en de bonne bouche.
La chambre fut rapidement rempli de bruit se succion. De la salive s’écoulait du menton de Yannick. Bénédicte ne pouvait s’empêcher de gémir en penchant sa tête en arrière. D’une main il caressait les boucles brunes de mon mec. Moi, je ne restait pas en place sur mon siège. A chaque fois que je me mettais à bander, ma cage me rappelait que je n’y avais pas droit. Mais voir ses deux ensemble me donnait à nouveau une érection. Ce cycle de d’excitation, de douleur et d’accalmie me faisait gesticuler.
J’ai du faire un mouvement de trop car Bénédicte soudainement s’est retourné vers moi et me fixa pendant plusieurs secondes. Je me suis senti nerveux. Ce n’est pas dans son habitude de me prêter attention. D’habitude ils m’ignorent et je suis solicité uniquement pour venir nettoyer cul et queue du trop plein de foutre. Si les autres fois Bénédicte me regardait, c’était surtout comme pour me provoquer, pour me narguer. Mais aujourd’hui son regard était différent. Il y avait de la curiosité.
« Tu portes toujours ta cage? ». Déconcerté, je hochai la tête pour toute réponse. « Deshabille toi! ». M’ordonna-t-il. J’obéis et fini par me retrouver nu. Yannick, poursuivait sa fellation. La queue de Benedicte est maintenant toute luisante de salive.
Gené, je ne savais pas trop comment me tenir. C’etait la premiere fois que je me retrouvais tout nu avec ma cage devant un autre homme que mon mec. Si avant ma queue parraissait ridicule devant celle de Benedicte, a present qu’elle est en cage, c’est encore pire.
Benedicte fit signe à Yannick pour qu’il se releve. Il le penche sur le lit. Benedicte ecarte les fesses de mon mec et rapproche son visage. Il lui lèche la rondelle. Yannick gémit de plaisir. La ou je suis je peux voir son visage devenir rouge. Ce n’est oas dans les habitudes de Benedicte d’etre aussi calin. Habituellement il lui foure la bite directe dans le cul puis s’en va. Il doit etre de bonne humeur aujourdhui. Le voir aussi doux m’excite. De la mouille s’echappe de ma cage pour s’ecraser sur le sol.
Satisfait de son travail, Bénédicte place Yannick à quatre pattes sur le lit. Il positionne son gland sur son anus et d’un seul coup de rein il lui enfonce toute sa bite dans le fion. Yannick pousse un cri mais ne se dérobe pas. Depuis le temps qu’ils baisent ensemble il a fini par s’habituer. Bénédicte reste cependant quelques secondes sans bouger. Puis commence un lent va et vient dans les entrailles de mon mec. Il n’a pas fallu longtemps pour que Yannick se remette à gémir. Mais cette fois-ci c’était des gémissements de plaisir. Avec le temps, j’ai appris à aimer voir ces deux-la baiser ensemble. Bénédicte à un jeu de rein assez incroyable et Yannick encaisse comme un pro. De plus, les gémissements de Yannick sont excitant. Plus Bénédicte accélère la cadence, plus Yannick va dans les aigus. J’ai parfois l’impression qu’il fait exprès, qu’il joue à la salope. Mais son expression faciale ne ment pas. Ça se voit qu’il prend son pied.
Les coups de rein de Bénédicte se font de plus en plus fort et de plus en plus rapide. Il laboure sans pitié le cul de mon mec. Yannick crie, gémis, couine comme une salope et en redemande encore. J’ai mal au ventre et à la queue. La scène que j’assiste m’excite terriblement et le fait de ne pas pouvoir me toucher la queue est une torture. Je sens mes boules s’alourdirent. Quand serais-je autorisé à jouir?
Bénédicte retourne Yannick. Il est à présent couché sur le dos, au bord du lit, les jambes relevées, déposées sur les épaules de Bénédicte. Ce dernier n’a pas ralenti les cadence. Son bassin s’abat violemment dans le cul de mon mec.
« Ah! Je vais jouir! »
La voix de Bénédicte se fait toute tremblante. Il a du bien prendre son pied ce soir. Bénédicte se penche sur Yannick et lui roule une pèle. Dans un coup de rein ultime, Bénédicte se plante dans le cul de Yannick, et j’imagine sa bite de 23 cm y vomir tout son foutre.
Ils leur faut quelques secondes pour se remettre de leur emotion. Bénédicte se relève et se retire de Yannick. Je n’attends pas qu’il m’appelle. Sur mes deux genoux, je me rapproche d’eux. J’allais prendre la queue de Bénédicte en bouche mais il refusa et pointa le cul de Yannick du doigt. L’anus de Yannick est bien ouvert. Ses contours sont rouges et boursouflés. Il en a bavé ce soir. Le sperme Bénédicte s’échappe de son trou et je fais vite de le récupérer. Je l’avale goulûment. Je lèche assidûment l’anus de mon mec qui vient tout juste de se faire prendre par un autre mec. Ma langue passe sans aucune effort son anneau. J’entends Yannick gémir. Je le fais du bien?
Bénédicte me fait relever. Yannick est toujours couché sur le dos au coin du lit. Bénédicte me fait coucher sur lui. Mon visage est au dessus de celui de mon mec. Je lis dans ces yeux le plaisir qu’il vient de prendre. Je sens ma bite emprisonnée dans ma cage frotter l’anus humide de mon mec. Bénédicte écarte mes fesses, je sens quelque chose d’humide se frotter à mon anus. Sa langue. J’adore la sensation et je ne peux m’empêcher de gémir. Cela fait rire Yannick. Il se met à me caresser. C’est la première fois en deux mois à peu près que Yannick me touche de la sorte.
La langue de Bénédicte abandonne mon trou, et c’est son gland que je sens se poser sur mon anus. Je sursaute comprenant ce qui allait se passer.
« Bénédicte ! Non! Je ne suis pas prêt. Je ne pourrai jamais… »
Bénédicte exerce une pression et floup, son gros gland me traverse l’anneau.
« Aaaaaah! ». Je pousse un cri de douleur. Je sens que son gland m’a déchiré l’anus. Je me sens ouvert. Je n’ai pas l’habitude de me faire prendre, la dernière fois remontant à quand ce modèle m’a baisé dans le studio de Stefano (texte 2). Malgré moi je sens des larmes me monter aux yeux.
« Tu vas voir, la douleur va disparaître ! Calme toi bébé! ». Au dessous de moi, Yannick me console. C’est tout de même étrange qu’il soit aussi attentionné avec moi lorsque j’ai la bite d’un autre dans le fion.
La bite de Bénédicte continue sa progression en moi. Je serre les dents pour ne pas crier. Yannick me caresse et me fais plein de bisous. Cela m’aide à oublier la douleur.
« Détends toi! Laisse Bénédicte t’ouvrir le cul! Laisse le entrer sa belle bite! »
Je ferme les yeux et je supporte ma douleur. J’ai dans le fion de 23 cm. Bénédicte a atteint le fond et je sens bien que tout n’est pas entré. Il ne bouge plus.
« Putain. Ton trou est bien serré! »
Bénédicte se retire doucement. La sortir fait aussi mal que son entrée. Et alors que son gland allait sortir, il me rentre à nouveau toute sa pine dans mon cul et je ne peux m’empêcher de crier. Il recommence son manège à plusieurs reprises, et à chaque fois cela m’arrache un gémissement. Mon conduit commence à s’adapter à la taille de son engin. La douleur à diminuer. Et comme me l’a promis Yannick, je sens un plaisir prendre naissance dans le creux de mon rein.
« Aaaah ». Ce gémissement est différent des autres. Celui-la je l’ai lâché quand j’ai senti la queue de Bénédicte me frotter la prostate. J’ai eu un plaisir immense. Yannick eut un sourire et m’embrassa. Son corps collé au mien, je pouvais sentir sa queue demi molle frotter entre nos ventre. Ma cage frappait contre son anus, ma verge étant incapable de le pénétrer.
Bénédicte a du sentir que je prenais mon plaisir. Ses mains sur ma hanche, son va et vient gagna en vitesse. Mes entrailles n’offrent aucune résistance a présent. Il coulisse librement en moi. Bénédicte me pilonne pendant plusieurs minutes déjà. Je sens ses couilles claquer contre les miennes. Mes gémissements sont étouffés par les baisers de Yannick. J’ai envi de crier de plaisir. J’ai envi de lui dire que j’aime ce qu’il me fait. Que j’ai envie qu’il continue à me baiser pendant des heures.
Tout d’un coup, je sentis une chaleur m’envahir. Je ne sais pas ce qui m’arrive. C’est la même sensation que lorsque je vais jouir et en même temps c’est différent. Le sang me monte aux visages. Je tends même le cul pour que Bénédicte me culbute plus profondément. Je n’en peux plus. Je ne peux expliquer ni comment ni pourquoi mais j’atteins l’orgasme. Je pousse un cri tandis que mon sexe prisonnier de ma cage crache du sperme. Mon anus se referme sur la queue de Bénédicte et quelques instants plus tard, je le sens lui aussi se vider en moi.
Le corps de Bénédicte tombe sur moi. Je suis pris en sandwich entre lui et Yannick. Nous reprenons notre souffle pendant quelques minutes. Je sens l’echo de l’orgasme résonner en moi tandis que Bénédicte sort sa queue de moi. Et c’est avec regret que je laisse se retirer totalement.
***
Je me réveille au milieu de la nuit. Nous sommes tous les trois dans le lit, Yannick, Bénédicte et moi; Bénédicte étant au milieu. C’est la première fois que Bénédicte passe la nuit avec nous. D’habitude il part quelques minutes après avoir shooté son jus. Ça me fait plaisir de voir qu’il est toujours là. Yannick dort paisiblement, la tête posée sur l’épaule de Bénédicte.
Je soulève les draps. La queue monstrueuse de Bénédicte repose paisiblement entre ses jambes. J’ai envie de la prendre en bouche, mais je me retiens. Dans son sommeil, Bénédicte a passé son bras autour de mes épaules et me colle contre lui. J’ai la tête contre le torse de Bénédicte. Le sourire au lèvres, je décide de me rendormir tout en me remémorant ce que je venais de vivre avec mon copain et son amant.
À suivre…
Note
Chers lecteurs,
Avez vous déjà pris le risque d’inclure une troisième personne à votre couple?
Rappelez vous bient que cette histoire est une fiction. Protégez-vous!
Dej407
dej407@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :