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Chapitre-5 | Le lendemain de la nuit d'enfer.
Ils s'étaient endormis comme des masses dans les bras l'un de l'autre.
Au matin, le soleil commençait à se lever, ce sont des coups dans sa porte qui les ont réveillé. Bruce se lève, enfile quelques vêtements.
-tu bouges pas d'ici Freddy, tu ne te montres pas surtout!
Bruce fonce à la porte d'entrée, l'ouvre et voit le Pasteur Harvey LANCASTER, l'air préoccupé :
-bonjour Shérif! vous savez qu'ils sont là et qu'ils ont des otages ?
-oui Pasteur je sais, entrez.
-qu'allez vous faire ?
-je ne sais pas encore, je dois aller parler avec eux à midi seulement, et venir seul.
-vous n'avez pas chercher à trouver du renfort ?
-non car ils menacent de tuer tous les otages si rien ne se passe comme ils le désirent, alors je vais les voir et après je pourrais prendre des mesures.
-beaucoup d'habitants sont venus me voir ce matin car certains hommes ne sont pas rentrés chez eux, et ils ont peur Shérif!
-je m'en doute, mais pour l'instant on ne fait rien, alors je vais vous demander de recevoir ceux qui viendraient et surtout de ne pas venir au saloon, pas la peine qu'ils aient plus d'otages!
-Vous les avez vu hier soir ? vous les connaissez ?
-j'ai eu le malheur de croiser leur chef Wolf GARNETT il y a 15 ans et il m'avait détruit à l'époque Pasteur, alors je vais tout faire pour sauver le plus de monde possible, mais j'ai besoin que personne ne s'approche du saloon, surtout les jeunes, car ce sont les jeunes qu'ils préfèrent, les avilir et s'en servir comme d'une femme, Pasteur.
Le Pasteur ne tremblait pas, il avait les yeux durs en regardant le shérif :
-c'est ce qu'il vous ont fait il y a 15 ans ?
-eh oui Pasteur!
Il pouvait le dire, pense Bruce, avec ce qu'ils avaient vu au saloon hier soir, cela allait vite faire le tour de la ville!
-alors surtout calmez les, qu'ils ne s'amusent pas à vouloir attaquer le saloon, cela serait un carnage et ceux qu'ils ont entre les mains, ont dû passer une triste nuit alors ils ne méritent pas de mourir!
-je comprends Shérif, je vais tout faire pour les retenir en attendant de vous revoir! Donc je file m'organiser!
Le Pasteur parti, Freddy fait son apparition.
-pourquoi tu lui as dit ? demande Freddy.
-avec ce qu'ils ont vu hier, il faudra que je raconte ce que j'ai vécu il y a 15 ans, alors autant le dire de suite au Pasteur. Il va savoir les préparer!
Ils ont cassé la croûte, bu le café.
Bruce était content d'avoir ce petit mec, ce beau petit mec avec lui, souriant, des yeux pétillants.
Il a réussi à venir s'asseoir sur les genoux de Bruce, venir l'embrasser tendrement, lui caressant les joues, ses joues piquaient ce matin, la barbe avait deux jours.
-tu piques ce matin shérif! dit Freddy en passant sa joue sur la sienne, mais t'es beau comme ça, ça te durcit le visage.
Bruce sourit, lui fait un bisou.
-tu sais pas, mais j'avais jamais tant juté qu'hier soir! Même quand je me branle je jute pas autant!
-normal ça, peut-être que tu le fais mal! Cela fera l'objet d'une autre leçon jeune homme!
Freddy rigole.
-j'ai vu aussi que tu avais tout avalé ma jute et moi je n'ai pas pu, y'en avait trop!
-normal aussi, tu vois ça fait encore une leçon à faire! dit Bruce en riant.
-tu comptes me donner combien de leçons ?
Bruce fait celui qui réfléchit :
-disons... jusqu'à temps que t'es marre de moi!
Il rigole en se serrant contre lui.
-mais que vont dire tous les gens quand ils vont voir que je suis chez toi ? J'ai peur de leur réaction tu sais!
-oui moi aussi un peu, mais je pense que si on s'en sort tous, et que ceux qui sont restés en otages racontent un peu ce qui leur est arrivé, cela devrait les aider à comprendre! Et sinon ben on partira tous les deux voir ailleurs!
-=-=-=-=-=-
Wolf se réveillait doucement. Il sent le corps d'un mec contre le sien qui lui tourne le dos, ses fesses collées à son flanc.
John! putain de petit puceau! enfin il ne l'est plus avec ce qu'il lui a mis dans la bouche et dans le cul! Il essaie de se rappeler combien de fois il l'a baisé cette nuit.
Ce qu'il se souvient c'est la première fois qu'il l'a baisé, ses cris, ses pleurs, les coups qu'il lui a mis pour le faire tenir tranquille et l'enculer comme il en avait envie. Cela l'excite et l'a toujours excité de baiser un puceau, d'être son premier mec, de lui défoncer son petit trou serré. Bien sûr qu'il peine pour avoir le cul vierge, pas de préparations, tout en force! Il faut que ça gueule, que le puceau sente la force avec laquelle il se fait dépuceler.
Et la dernière fois avant de dormir, le trou bien dilatée et sa grosse queue qui coulissait comme son colt dans son étui! Le ramoner lentement, l'entendre gueuler, l'écraser sous son poids et s'enfoncer bien au fond pour y déposer sa récompense!
Il rigole doucement en se rappelant aussi quand sa queue sortant de son cul, sa queue souillée d'excréments et de sang qu'il lui a fourré dans la bouche pour qu'il nettoie tout! Il avait eu des hauts le cœur, la nausée et penché en avant essayait de se retenir de vomir. Il l'avait emmanché rapidement, lui coupant la nausée!
Il sent sa queue se réveiller au contact du petit cul, il se tourne dans le lit, et va mettre sa queue dans la raie. Il bande encore Wolf, d'ailleurs il se demande quand il ne bande pas! Il cherche du gland le petit trou humide, qu'il trouve, force, John grogne, cherche à se mettre à plat ventre, il le retient, le tirant à lui, sent que sa queue a trouvé l'entrée et qu'elle glisse à l'intérieur. Ce qui réveille John et son cri n'est pas du plaisir et c'est bien ce qu'il aime Wolf.
Son corps roule sur celui de John, la tête écrasée dans les plumes du traversin et il sent la queue coulisser en lui. Les douleurs reviennent, mais il a compris depuis hier soir que, pour avoir moins mal il faut qu'il se laisse faire, qu'il s'offre même.
C'est ce qu'il fait et il sent la liqueur chaude se répandre en lui!
De la nuit il n'a pas bandé une seule fois lorsqu'il l'a sucé et s'est fait enculer. Mais là au réveil, comme tous les matins, il bande et sa queue frotte sur les draps rêches du lit et quand il sent le sperme de Wolf inondé son cul, il se surprend à gémir et sent qu'il jouit dans les draps et machinalement son petit cul se resserre sur la grosse queue de Wolf qui se penche à son oreille :
-tu vois que tu vas devenir une belle salope, dès le premier matin tu aimes ma queue et toi t'as juté hein ?
John fait oui de la tête, sans le regarder tellement il a honte et il ne voit pas le sourire de vainqueur sur les lèvres de Wolf, qui se croit irrésistible.
-=-=-=-=-=-
Avant de se rendre au saloon, Bruce est passé par l'office du Révérend. Ils étaient une quinzaine à poser des questions au Révérend, qui semblait dépassé et était content de voir arriver le Shérif. Tous les regards se sont retournés sur lui et la question principale était : qu'allait il faire pour sauver les otages ?
-désolé mes amis mais pour l'instant j'en sais rien. Je ne vais rien faire pour les contrarier et sauver la vie de tous les otages. C'est ce qu'ils m'ont demandé hier soir et je dois les rencontrer ce midi pour en savoir plus.
-mais on peut les attaquer! dit un participant.
-oui on pourrait et ça serait un carnage, car d'abord ils tueraient tous les otages et ensuite défendraient chèrement leur vie.
-mon fils John est retenu là-bas dit un homme.
-oui Fred, je l'ai vu hier soir, il fait bien parti des otages.
-mais que vont ils en faire ? pourquoi des otages ?
Les questions pleuvaient.
Bruce lève la main, le silence s'installe :
-je vois que le Révérend ne vous a rien dit de ce que je lui ai appris ce matin, bon Révérend Harvey, il est temps de les aviser. Alors je vais faire court messieurs, ceux qui sont restés comme otages ont servi de femmes aux bandits retranchés!
Un "oh" d'indignation retentit, ils se regardent tous de plus en plus inquiets, sûrement en pensant à ceux de leur famille qui sont retenus.
-comment tu sais ça Shérif ?
-pourquoi Fred ? C'est simple, le chef de cette horde, le nommé Wolf GARNETT m'a fait subir le même sort il y a 15 ans lorsque je travaillais dans un ranch, et tous ceux qui ne se sont pas laissés faire ont été abattus.
Des yeux exorbités le fixaient.
-et, les regardant dans les yeux les uns après les autres, j'ai été obligé quand il m'a reconnu de passer par ses caprices devant tout le monde dans le saloon, alors moi aussi je veux me venger, mais me venger en sauvant vos amis, vos familles! Il est midi je vais les retrouver, rentrez chez vous et ne faites rien qui pourrait les énerver! Que les plus jeunes ne sortent pas, car ils préfèrent nettement ces personnes là!
Il les laisse et file vers le saloon. Les chevaux sont tous là. Le saloon semble calme. Bruce a toujours son colt, il n'a pas voulu venir désarmé. Il entre dans le saloon, poussant les portes à battants, ses santiags font du bruit sur le plancher et ses éperons raclent le sol.
Steeve le propriétaire est derrière son bar. Nu complètement et il n'a pas le sourire.
-dans un coin quatre cow-boys nus également sont autour d'une table comme s'ils faisaient une partie de poker.
-salut Steeve, ils sont où tous ?
-pas levés encore, avec le bordel qu'ils ont foutu après ton départ Shérif, les cris horribles qui venaient des chambres, j'ai pas dormi de la nuit. Et cela a repris ce matin.
C'est Fred le black qui fait son apparition en haut des escaliers, habillé de sa tenue de la veille, traînant en le tenant par le cou un jeune mec brun, nu comme un ver. Ils descendent l'escalier, Bruce voit le sexe minuscule du jeune qui pendouille entre ses jambes. Une belle fourrure autour de son sexe qui semble se recroqueviller dans les poils. Un torse musclé, des cuisses épaisses, et une tête fatiguée, on voit qu'il a pleuré et qu'il peine à marcher. Fred le black le pousse en arrivant en bas de l'escalier, le jeune tombe aux pieds du Shérif et voit les belles fesses martyrisées, des traces de sang apparaissent venant de la raie et allant sur les fesses.
-tiens Shérif, si tu connais pas les salopes de ta ville en voilà une, tu pourras t'en servir, j'ai fait le trou, une vraie grotte délicieuse le petit mec! Et il a de la voix!
Fred rigole, il a des yeux de fou pense Bruce en le voyant venir vers lui.
Il le prend par le cou, l'approche de lui :
-d'après Wolf il parait que t'es doué et que tu prends bien la queue, les grosses queues même, t'es venu goûter à la mienne Shérif ?
-laisse le dit la voix de Wolf, il est à moi le Shérif j'tai déjà dit!
Fred le lâche mais Bruce voit bien qu'il regrette.
Il voit John descendre derrière Wolf, le suivre comme son ombre. Il est dans le même état que le premier. C'est aussi un beau petit mec ce John et Bruce comprend que Wolf l'ai choisi. Il remarque que la queue de John est en semi érection et qu'il baisse la tête.
Wolf s'approche de lui, sa main vient lui caresser la joue, il a son sourire malsain, sa main passe sur son visage et vient lui caresser la nuque :
-j'espère que j't'ai pas vexé hier soir en ne te prenant pas avec moi Shérif, mais ton bon petit cul j'le connais et j'avais envie d'en connaître un autre et je peux te dire que celui de John, eh bien il vaut le détour. Comme toi il était puceau avant d'entrer dans mon lit et en sortant c'est une salope qui aime la queue!
Il rigole de son rire gras.
-j'suis sûr que tu t'en souviens Shérif, toi aussi tu jutais quand je t'enculais et tu en redemandais, bon John en redemande pas encore mais dans une nuit ou deux il sera parfait!
-bon Wolf, tu veux quoi exactement ? demande Bruce se redressant.
L'autre éclate de rire.
-regarde Fred notre Shérif fait le coq alors que c'est une poulette qui donne son cul! T'emballes pas Shérif, en même temps que je baisais le petit cul de John, j'ai réfléchi et je pense qu'on va s'installer dans ta bonne ville quelques temps et faire connaissance avec les habitants. Il doit bien y avoir d'autres John dans ta ville et toi Shérif tu connais tout le monde, alors tu vas faire les présentations!
Du bruit se fait entendre, les quatre autres cow-boys arrivent, tous suivis d'un mec nu. Ils ne respirent pas la joie.
Wolf se retourne vers le patron du saloon :
-bon tu vas nourrir tout le monde, faut qu'ils reprennent des forces car la fête n'est pas finie. Et nous Bruce on va aller visiter ta ville, Fred tu viens avec nous!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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